Attaquant

         
Attaquant de percussion, Tony Vairelles était un joueur tonique et combatif. Il débuta sur le flanc droit de l'attaque avant d'élargir son registre. Néanmoins les bases restèrent toujours les mêmes : la débauche physique, la vitesse, l'engagement au détriment de qualités techniques affirmées.
         
 
           
NOM :   VAIRELLES
Prénom :   Tony
Né le :   10 avril 1973 à Nancy (Meurthe-et-Moselle)
     
    Taille : 1,86 m Poids : 76 kg
           
         
Au club de :  

Janvier 2001 à Juin 2001

     
En provenance de :
  Olympique Lyonnais (prêt)
     
Club suivant :   SC Bastia
     
     
BILAN STATISTIQUE
         
  15
    2
Matches :   Buts :
     
         

Fils d'un ancien attaquant du FC Nancy (CFA), Tony Vairelles découvrit le football à Tomblaine, petit club où son père finissait sa carrière. Il intégra par la suite le centre de formation de l'AS Nancy-Lorraine. Lancé à 18 ans en D2 par Rouyer, il gagna ses premiers trophées avec le RC Lens : championnat de France et Coupe de la Ligue, avec Lens. Il rejoignit ensuite l'Olympique Lyonnais. Au sein d'un effectif très riche, il ne trouva pas sa place et se heurta à son entraîneur, Jacques Santini.

 

Devenu indésirable en terme lyonnaise, barré par l'éclosion de Sydney Govou, il se retrouva prêté, en janvier 2001, aux Girondins, désireux de renforcer leur attaque.

 

Mais à Bordeaux également, la concurrence était forte (Pauleta, Dugarry, Laslandes). Il accomplit 6 mois quelconques et quitta sans regret la Gironde.

 

La suite de sa carrière fut chaotique, multiplia les clubs et les expériences : Bastia, Lens, Rennes, Lierse, Tours, Dudelange, Gueugnon.

 
 

International France A

8 sélections
 
         

 

Une nuit, tout dérape...

 

Dans la nuit du 22 au 23 octobre 2011, l'existence de Tony Vairelles prit un tour dramatique. Appelé par ses frères expulsés d'une discothèque de la banlieue de Nancy, il se retrouva au coeur d'une échauffourée qui se termina par des coups de feu. Accusé de tentative d'assassinat, qu'il réfuta, il fut incarcéré avec ses frères durant 5 mois.

 

Libéré avec un contrôle judiciaire, il vint vivre, durant l'été 2013, à Eysines dans une maison qu'il avait achetée alors qu'il portait les couleurs des Girondins.