NOM :  

PEREA

Prénom :   Edixon
Né le :   20 avril 1984 à Cali (Colombie)
     
    Taille : 1,78 m Poids : 73 kg
           
         

Avant-centre

         
Surnommé « el Pitbull », Edixon Perea était, comme son surnom l'indiquait, un attaquant agressif et combatif. Il aimait prendre la profondeur et se déplacer sur les ailes. Un peu brouillon, il manquait d'adresse devant le but et ne s'adapta jamais réellement au jeu européen.
         
         
Au club de :  

Juillet 2005 à Janvier 2008

     
En provenance de :
  Atletico Nacional (2,5 M€)
     
Club suivant :   Gremio Porto Alegre (1 M€)
     
     
BILAN STATISTIQUE
         
  53
    7
Matches :   Buts :
     
         

Auréolé d'un titre de champion de Colombie et fort de 15 buts marqués avec le Nacional Medellin, Edixon Perea fut transféré à 21 ans aux Girondins de Bordeaux en juillet 2005. Nouveau venu à Bordeaux, Ricardo l'intégra avec modération dans le collectif bordelais, lui préférant Darcheville, Chamakh ou Laslandes. Il disputa 25 rencontres mais souvent comme remplaçant. N'inscrivant que 3 buts, il ne fut pas en mesure de remettre les certitudes du coach brésilien en question.

 

Sa seconde saison ne fut guère plus brillante avec seulement 4 buts inscrits en 27 bouts de matches. En 2007-2008, Laurent Blanc ne le fit jamais jouer en championnat. Son dernier match avec le maillot frappé du Scapulaire fut une rencontre de Coupe de l'UEFA contre Panionios en décembre 2007. Grâce à ses bonnes performances lors de la Copa America précédente où il avait marqué un but contre le Brésil avec sa sélection nationale, il conservait une certaine cote, il rebondit au Gremio en janvier 2008.

 
 
International Colombie A
29 sélections
 
         

 

Une adaptation difficile

 

Premier Colombien à porter le maillot bordelais, habitué certes à être loin de chez lui depuis son plus jeune âge, Edixon Perea éprouva néanmoins beaucoup de difficultés à s'adapter. Un problème récurrent à un genou expliqua également en partie ces mois difficiles.

 

La découverte d'un football beaucoup plus physique, avec davantage de contacts qu'en Colombie constitua le principal écueil à franchir. Et, il n'y parvint jamais... Les défenses resserrées et le pressing ne lui permirent pas de faire l'étalage de ses qualités.