Milieu offensif

         
 
         
 
           
NOM :   LIPPINI
Prénom :   Bruno
Né le :   22 novembre 1963 à Marseille (Bouches-du-Rhône)
     
    Taille : 1,68 m Poids : 63 kg
           
         
Au club de :  

Juillet 1982 à Juin 1985

     
En provenance de :
  FC Martigues
     
Club suivant :   FC Martigues
     
     
BILAN STATISTIQUE
         
  8
    0
Matches :   Buts :
     
         

Enfant d'un seul club, le FC Martigues, Bruno Lippini se signala à 17 ans lors d'un 32ème de finale de la Coupe de France 1981. Sur la pelouse du Stade-Vélodrome de Marseille, il inscrivit le tir au but décisif qui éliminait Lyon et envoyait la formation martégale. Alors international juniors, il rejoignit les Girondins de Bordeaux en 1982. 

 

Sa première saison fut contrariée par son service militaire et son incorporation au Bataillon de Joinville. Mais par la suite, au sein d'une équipe constituée essentiellement d'internationaux, il ne joua guère davantage.

 

Même s'il figurait dans l'effectif marine et blanc durant les saisons 1983-1984 et 1984-1985, il ne peut prétendre au titre de champion de France. En effet, lors du titre de 1984, il ne disputa aucun match avec les professionnels. En 1985, il ne joua qu'un match … en Ccoupe de France.

 

Comprenant que sa carrière ne pourrait se faire au sein d'un club aussi prestigieux, il poursuivit sa carrière à Martigues et Bastia.

 
 
International France Juniors
 
 
         

 

Un jeune espoir aux Girondins

 

Pilier de l'équipe de France juniors, Bruno Lippini accomplit toute sa formation au sein du FC Martigues. Au printemps 1982, de nombreuses formations étaient à la lutte pour s'attacher les services de ce prometteur milieu offensif.

 

Auxerre, Lyon et le PSG furent devancés par les Girondins de Bordeaux qui offrirent au joueur un contrat de stagiaire professionnel. Didier Couécou, le directeur sportif, paya de sa personne pour le faire venir en Gironde depuis qu'il l'avait vu à l'oeuvre lors d'un Martigues-Monaco en 1981. Ce soir-là, le jeune Lippini avait brillé de mille feux, poussant avec ses coéquipiers les Monégasques en prolongation.

 

Les bonnes relations entre Couécou, les dirigeants martégaux et la famille du joueur firent le reste.