Milieu de terrain de grand talent, il joua durant la Seconde guerre mondiale aux Girondins. Il appartint à l'équipe qui remporta la première Coupe de France du club. Mais comme tous les autres clubs qu'il fréquenta, il ne s'éternisa pas en Gironde.
Il reste dans la mémoire collective algérienne comme le père fondateur de l'équipe nationale, en clandestinité et en exil, à Tunis (1958).
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